SOLEX 3800 de 1986

 
  • Le SOLEX, effectivement un monument du 2 roues
  • Je me souviens du premier Solex sur lequel j'ai roulé, c'était celui de ma soeur, un des premiers bleu, tout beau tout neuf.
  • Ah, conduire un Solex, bien sur il faut oublier toute notion de performance et ne plus penser qu'au plaisir de rouler sans stress.
  • En fait en repensant à tout cela, j'ai eu envie d'en retrouver un.
  • Il s'avère qu'il y en a beaucoup dans les annonces et à tous les prix. Le mien je l'ai trouvé à proximité de chez moi
  • Il s'agit d'un des derniers modèles, 1986, de chez Motobécane et même s'il n'est pas complet à 100% je remarque qu'il n'a pas beaucoup roulé.
  • 80 € le prix est correct
  • Comme pour toutes mes restaurations, le Solex est entièrement mis en pièces, et je m'aperçois de toute l'ingéniosité de la conception. Toute la partie cycle est composée de tôles pliées et assemblées.
  • Seule la douille de direction est soudée à la poutre centrale du Solex, simplicité de fabrication qui explique peut être qu'il continue à être fabriqué aujourd'hui.
  • Après inventaire, je commande des jantes et pneus, les quelques pièces de carburateur et filtre à air qui manquaient, je change la pompe à essence et sa membrane
  • Pour ceux qui voudraient s'acheter un Solex, n'hésitez pas, toutes les pièces sont dispo sur internet, il y a 2 excellents sites
  • Bon rerayonner une roue (ici 2) ce n'est pas compliqué, mais un peu long, surtout le centrage et dévoilage, mais lorsque les jantes sont piquées !!
  • Toutes les pièces de la partie cycle sont repeintes (en noir bien sur). La peinture noire est la plus difficile à réaliser a mon avis, car le brillant doit être parfait
  • Heureusement, il y a toujours le polish pour parfaire avant le vernissage. Même les autocollant se retrouvent
  • Quel plaisir de redémarrer ce Solex et de se retrouver dans les rues de la ville, Ail mon dos, j'avais oublié qu'il n'y a pas de suspension et quelques années de plus ...
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    Et si on revenait au Japon ?